Grandir dans la secte Bouddhiste Tibétaine OKC (pour Ogyen Kunzang Choling) aujourd’hui mutée en CBM (Centre Bouddhique Mahayana) voici la dernière interview que j’ai donné à la chaîne YouTube Dissecte que je remercie pour cet excellent travail de montage 🙏🏼

Version longue de cet interview.

Mémoire d'il y a 5 ans, impression d'audience

J’ai rien dit encore sur le jour 2 et 3 du procès OKC-Spatz, mais en très gros, à part que l’absence du principal accusé continue de briller de 1000 feux, les témoins a décharge qui ont été présenté se sont littéralement tiré dans le pied.

On a eu droit à un enfant de la dernière génération, qui dans son groupe modèle pilote a servi de test mais aussi de vitrine pour démontrer : regarder ceux là ils sont bien, ils n’ont pas été puni avec la religion bouddhiste (oui ça contredit la notion même de bouddhisme pour les bouddhistes sain d’esprit) ils n’ont pas été abusé physiquement ou spirituellement, ni sexuellement.. Quel miracle !

C’était un témoignage mignon et innocent à la foi, vu que le jeune homme en question n’avait aucune idée que sa mère, encore aujourd’hui, est administratrice déléguée dans la Fondation Kunzang (les curieux iront voir les status au Moniteur Belge) tout en prétendant ne pas avoir de lien avec aucune des parties. Plouf !

Sinon à part ça on a eu le coup de l’utilisation du nom de Mathieu Ricard comme étant un “contemporain” de Spatz, ils ont “étudié” avec le même “maître” par une des rares adeptes de Spatz à avoir compléter une “retraite bouddhiste” de 3 ans qui aura duré 4 ans (sa fille de 4 ans ne lui manquait pas non, ils se sont arrangé entre amis)

Suite à cela on eu droit au Fixeur de Robert Spatz, l’homme de main, celui qui s’occupe des sales boulots dans tous les sens du terme.. Il s’est vautré sur sa chaise puis à passer son temps (presque une journée en tout) a s’expliquer sur la structure financière de Torma/Tara/OKC tout en faisant mine d’apprendre les abus physiques ou sexuels par l’émergence de partie civile en 2015 dans une affaire dont il a Toujours été mis au courant depuis 1997. Bref du grand Cabe! (hic)

Mais le mieux c’est ce qui vient…

On a eu droit au témoignage de gens de notre génération, des gens avec qui nous avons vécu ces choses.. Aujourd’hui chauffeur, jardinier et secrétaire personnelle de Spatz, qui tous se font passer pour des personnes “au service de Spatz pr amitié” elles sont “bénévoles”, vivent dans les maisons de Spatz en Espagne, ont été endoctriné façon level 200, souffrent tous d’une amnésie sélective sur la nature des abus physiques, psychologiques, spirituel et sexuels de leur gourous ou “éducateurs” (i)responsables d' enfants mineurs qui était à leur charge sous la direction de Robert Spatz.

On aussi eu droit à de la délation d’anciens adeptes toujours coincé Rue de Livourne en attente d’un logement social pour se tirer de là (la cour n’est pas dupe).

Bref, des journées positives pour les parties civiles avec des adeptes endoctrinés prêt à mentir et à se parjurer pour protéger “monsieur Spatz”, mais surtout des adeptes tellement entraîné à percevoir tout à travers la grille de lecture de Spatz qu’on a pu les entendre dire que des baffes sur enfants mineurs c’était pas des “sévices corporels” par contre “des coûts de bâton sous l’eau froide” dans les jambes.. Ça bien..

Et bhe ça tombe bien c’est exactement ce qu’il est arrivé à certain d’entre nous !

Le 4 et le 5 on va aborder entre autre la question des abus sexuels et l’attitude des irresponsables “éducateurs” face à ça, et comment la OKC a d’abord nier puis à dû composer et faire avec tout en continuant à suivre Spatz activement, (en prétendant sa démission en 2016) et encore aujourd’hui se laisse guider par les avocats de Spatz qui n’ont foncièrement pas les mêmes intérêts que ce qu’il reste d’adeptes dans une organisation toxique déjà mourante et sur le point de s’achever d’elle même.

C’est pas l’initiative “OKCinfo” ou d’autres parties civiles ou l’état belge d’ailleurs qui mettra soit-disant des gens à la rue… C’est surtout l’incapacité de ses membres restants d’effectivement utiliser les outils légaux à leur disposition pour se dissocier de Robert Spatz et de l’entité OKC, du coup une armée d’avocats & les instructions de Spatz / Yana / Rui reste la clef d’une dérive qui affiche une prétention religieuse avec une arrogance et des moyens pour contrecarrer la moindre actions de la justice, mais aussi pression sur des médias ou des individus, véritable marque de fabrique de la OKC sur cette affaire en justice au cour de ces 20 dernières années.

On vous attend au tournant. Aléa Jacta est.

J'ai rien dit encore sur le jour 2 et 3 du procès OKC-Spatz, mais en très gros, à part que l'absence du principal accusé continue de briller de 1000 feux, les témoins a décharge qui ont été présenté se sont littéralement tiré dans le pied.&10;&10;On a eu droit à un enfant de la dernière génération, qui dans son groupe modèle pilote a servi de test mais aussi de vitrine pour démontrer : regarder ceux là ils sont bien, ils n'ont pas été puni avec la religion bouddhiste (oui ça contredit la notion même de bouddhisme pour les bouddhistes sain d'esprit) ils n'ont pas été abusé physiquement ou spirituellement, ni sexuellement.. Quel miracle !&10;&10;C'était un témoignage mignon et innocent à la foi, vu que le jeune homme en question n'avait aucune idée que sa mère, encore aujourd'hui, est administratrice déléguée dans la Fondation Kunzang (les curieux iront voir les status au Moniteur Belge) tout en prétendant ne pas avoir de lien avec aucune des parties. Plouf ! &10;&10;Sinon à part ça on a eu le coup de l'utilisation du nom de Mathieu Ricard comme étant un "contemporain" de Spatz, ils ont "étudié" avec le même "maître" par une des rares adeptes de Spatz à avoir compléter une "retraite bouddhiste" de 3 ans qui aura duré 4 ans (sa fille de 4 ans ne lui manquait pas non, ils se sont arrangé entre amis)&10;&10;Suite à cela on eu droit au Fixeur de Robert Spatz, l'homme de main, celui qui s'occupe des sales boulots dans tous les sens du terme.. Il s'est vautré sur sa chaise puis à passer son temps (presque une journée en tout) a s'expliquer sur la structure financière de Torma/Tara/OKC tout en faisant mine d'apprendre les abus physiques ou sexuels par l'émergence de partie civile en 2015 dans une affaire dont il a Toujours été mis au courant depuis 1997. Bref du grand Cabe! (hic)&10;&10;Mais le mieux c'est ce qui vient...&10;&10;On a eu droit au témoignage de gens de notre génération, des gens avec qui nous avons vécu ces choses.. Aujourd'hui  chauffeur,  jardinier et secrétaire personnelle de Spatz, qui tous se font passer pour des personnes "au service de Spatz pr amitié" elles sont "bénévoles", vivent dans les maisons de Spatz en Espagne, ont été endoctriné façon level 200, souffrent tous d'une amnésie sélective sur la nature des abus physiques, psychologiques, spirituel et sexuels de leur gourous ou "éducateurs" (i)responsables d' enfants mineurs qui était à leur charge sous la direction de Robert Spatz.&10;&10;On aussi eu droit à de la délation d'anciens adeptes toujours coincé Rue de Livourne en attente d'un logement social pour se tirer de là (la cour n'est pas dupe).&10;&10;Bref, des journées positives pour les parties civiles avec des adeptes endoctrinés prêt à mentir et à se parjurer pour protéger "monsieur Spatz", mais surtout des adeptes tellement entraîné à percevoir tout à travers la grille de lecture de Spatz qu'on a pu les entendre dire que des baffes sur enfants mineurs c'était pas des "sévices corporels" par contre "des coûts de bâton sous l'eau froide" dans les jambes.. Ça bien..&10;&10;Et bhe ça tombe bien c'est exactement ce qu'il est arrivé à certain d'entre nous !&10;&10;Le 4 et le 5 on va aborder entre autre la question des abus sexuels et l'attitude des irresponsables "éducateurs" face à ça, et comment la OKC a d'abord nier puis à dû composer et faire avec tout en continuant à suivre Spatz activement, (en prétendant sa démission en 2016) et encore aujourd'hui se laisse guider par les avocats de Spatz qui n'ont foncièrement pas les mêmes intérêts que ce qu'il reste d'adeptes dans une organisation toxique déjà mourante et sur le point de s'achever d'elle même.&10;&10;C'est pas l'initiative "OKCinfo" ou d'autres parties civiles ou l'état belge d'ailleurs qui mettra soit-disant des gens à la rue...&10;C'est surtout l'incapacité de ses membres restants d'effectivement utiliser les outils légaux à leur disposition pour se dissocier de Robert Spatz et de l'entité OKC, du coup une armée d'avocats & les instructions de Spatz / Yana / Rui reste la clef d'une dérive qui affiche une prétention religieuse avec une arrogance et des moyens pour contrecarrer la moindre actions de la justice, mais aussi pression sur des médias ou des individus, véritable marque de fabrique de la OKC sur cette affaire en justice au cour de ces 20 dernières années. &10;&10;On vous attend au tournant. &10;Aléa Jacta est.J'ai rien dit encore sur le jour 2 et 3 du procès OKC-Spatz, mais en très gros, à part que l'absence du principal accusé continue de briller de 1000 feux, les témoins a décharge qui ont été présenté se sont littéralement tiré dans le pied.&10;&10;On a eu droit à un enfant de la dernière génération, qui dans son groupe modèle pilote a servi de test mais aussi de vitrine pour démontrer : regarder ceux là ils sont bien, ils n'ont pas été puni avec la religion bouddhiste (oui ça contredit la notion même de bouddhisme pour les bouddhistes sain d'esprit) ils n'ont pas été abusé physiquement ou spirituellement, ni sexuellement.. 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Il s'est vautré sur sa chaise puis à passer son temps (presque une journée en tout) a s'expliquer sur la structure financière de Torma/Tara/OKC tout en faisant mine d'apprendre les abus physiques ou sexuels par l'émergence de partie civile en 2015 dans une affaire dont il a Toujours été mis au courant depuis 1997. Bref du grand Cabe! (hic)&10;&10;Mais le mieux c'est ce qui vient...&10;&10;On a eu droit au témoignage de gens de notre génération, des gens avec qui nous avons vécu ces choses.. Aujourd'hui  chauffeur,  jardinier et secrétaire personnelle de Spatz, qui tous se font passer pour des personnes "au service de Spatz pr amitié" elles sont "bénévoles", vivent dans les maisons de Spatz en Espagne, ont été endoctriné façon level 200, souffrent tous d'une amnésie sélective sur la nature des abus physiques, psychologiques, spirituel et sexuels de leur gourous ou "éducateurs" (i)responsables d' enfants mineurs qui était à leur charge sous la direction de Robert Spatz.&10;&10;On aussi eu droit à de la délation d'anciens adeptes toujours coincé Rue de Livourne en attente d'un logement social pour se tirer de là (la cour n'est pas dupe).&10;&10;Bref, des journées positives pour les parties civiles avec des adeptes endoctrinés prêt à mentir et à se parjurer pour protéger "monsieur Spatz", mais surtout des adeptes tellement entraîné à percevoir tout à travers la grille de lecture de Spatz qu'on a pu les entendre dire que des baffes sur enfants mineurs c'était pas des "sévices corporels" par contre "des coûts de bâton sous l'eau froide" dans les jambes.. Ça bien..&10;&10;Et bhe ça tombe bien c'est exactement ce qu'il est arrivé à certain d'entre nous !&10;&10;Le 4 et le 5 on va aborder entre autre la question des abus sexuels et l'attitude des irresponsables "éducateurs" face à ça, et comment la OKC a d'abord nier puis à dû composer et faire avec tout en continuant à suivre Spatz activement, (en prétendant sa démission en 2016) et encore aujourd'hui se laisse guider par les avocats de Spatz qui n'ont foncièrement pas les mêmes intérêts que ce qu'il reste d'adeptes dans une organisation toxique déjà mourante et sur le point de s'achever d'elle même.&10;&10;C'est pas l'initiative "OKCinfo" ou d'autres parties civiles ou l'état belge d'ailleurs qui mettra soit-disant des gens à la rue...&10;C'est surtout l'incapacité de ses membres restants d'effectivement utiliser les outils légaux à leur disposition pour se dissocier de Robert Spatz et de l'entité OKC, du coup une armée d'avocats & les instructions de Spatz / Yana / Rui reste la clef d'une dérive qui affiche une prétention religieuse avec une arrogance et des moyens pour contrecarrer la moindre actions de la justice, mais aussi pression sur des médias ou des individus, véritable marque de fabrique de la OKC sur cette affaire en justice au cour de ces 20 dernières années. &10;&10;On vous attend au tournant. &10;Aléa Jacta est.

Ce que l'IA #DeepSeek sait sur #OKC

C’est la première fois qu’un modèle me donne une réponse quasi sans fautes.

Dans sa réponse il cite les source mais dans le copier coller il ne sait pas établir les liens qu’il a trouvé et si par après je demande les liens, il se perd et hallucine un peu (j’aurais écrit un livre sur la question, ce qui est faux, ou alors dans le futur) bref.. Intéressant tout de même.


Synthèse sur la dérive sectaire de l’OKC et son fondateur Robert Spatz (Lama Kunzang)

1. Origines et structure de l’OKC

Robert Spatz, né en 1944 à Bruxelles, fonde l’Ogyen Kunzang Chöling (OKC) en 1972 après avoir étudié auprès de maîtres tibétains en Inde, notamment Kangyour Rinpoché. Présenté comme un centre bouddhiste tibétain de l’école Nyingmapa, l’OKC s’étend en Europe (Belgique, France, Portugal) et à Tahiti, avec des centres comme le Château de Soleils en France, où les enfants étaient élevés à l’écart de leurs parents.

  • Méthodes de recrutement : Les adeptes étaient incités à travailler bénévolement dans des restaurants et magasins bio affiliés, tout en transférant leurs biens à la communauté.
  • Légitimation spirituelle : Spatz utilisait des lettres de soutien signées par des autorités tibétaines (comme Dudjom Rinpoché) pour asseoir sa crédibilité.

2. Abus systémiques et accusations

Les enquêtes judiciaires et témoignages révèlent un système de contrôle et de violences :

  • Abus sur mineurs : Les enfants étaient séparés de leurs parents, soumis à des privations alimentaires, des coups, et des abus sexuels justifiés par des “rituels tantriques”. Certains ont été confinés dans des conditions insalubres et privés d’éducation formelle.
  • Exploitation financière : Les membres devaient céder leurs revenus et patrimoine à Spatz, qui accumulait des biens (or, villas) tout en vivant dans le luxe.
  • Emprise psychologique : Les victimes décrivent un conditionnement visant à les couper du monde extérieur, avec des menaces spirituelles (karma négatif) pour les dissuader de parler.

3. Procédures judiciaires et condamnations

Les poursuites s’étendent sur près de 30 ans, marquées par des rebondissements :

  • 1997 : Premières perquisitions en France et Belgique après des plaintes pour enlèvement et abus.
  • 2016 : Condamnation de Spatz à 4 ans de prison avec sursis en Belgique pour prise d’otages, abus sexuels et fraude, annulée en 2018 pour vice de procédure.
  • 2020 : La cour d’appel de Liège le condamne finalement à 5 ans avec sursis, mais il évite la prison et ne paie pas les indemnités aux victimes.
  • En France : Une instruction est en cours depuis 2017 contre un éducateur du Château de Soleils pour viols sur mineurs, avec des plaintes déposées par une vingtaine de victimes.

4. Rôle des autorités tibétaines et silence institutionnel

Malgré les preuves, des figures du bouddhisme tibétain ont soutenu Spatz :

  • Lettres de légitimation : Des lamas de haut rang (Shechen Rabjam Rinpoché) ont signé des documents validant l’authenticité de l’OKC, utilisés pour contrer les critiques.
  • Visites symboliques : Le Dalaï-Lama a visité l’OKC en 1992, renforçant sa réputation, mais n’a pas agi malgré les alertes répétées.
  • Complicité passive : Même après les condamnations, certains maîtres bouddhistes ont tardé à se distancier, comme Matthieu Ricard, qui a initialement défendu Spatz.

5. Impact médiatique et mobilisation des victimes

  • Documentaires et livres : Bouddhisme, la loi du silence (2022) et des enquêtes journalistiques ont exposé les crimes, donnant une voix aux survivants comme Ricardo Mendes, porte-parole des victimes.
  • Association Chardons Bleus : Créée en 2020, elle soutient les victimes juridiquement et psychologiquement, milite pour la dissolution de l’OKC et poursuit les procédures en France.

6. Situation actuelle et rebranding de l’OKC

En 2024, l’OKC a changé de nom pour Centre Bouddhique Mahayana (CBM) en Belgique, mais conserve les mêmes dirigeants (dont Spatz, réfugié en Espagne) et structures en France et Espagne. Malgré son exclusion des unions bouddhistes nationales, l’organisation maintient des activités sous couvert de légalité, avec des allégations persistantes de fraudes.


Conclusion : L’affaire OKC illustre les dérives sectaires masquées par une façade spirituelle et la difficulté des systèmes judiciaires à juger ces crimes complexes. Malgré des condamnations symboliques, Robert Spatz et ses complices continuent d’échapper à une justice ferme, tandis que les victimes luttent pour leur reconnaissance et la dissolution définitive du groupe.

Mémoire d'Il y a 9 ans, en pleine procédures judiciaires belge

Contexte : souvenir d’il y a 9 ans publié sr’ur Facebook que je retape ici pour ne pas le limiter à Facebook.

C’était une écoute très difficile, car la victime, alors même qu’elle avait été la première à porter plainte avait été ostracisée par toute la secte, par tout le monde, inclus, nous, alors jeunes adolescent et adolescentes, enfants, qui avions à notre façon, mais peut être moins d’intensité subi, aussi des sévices corporels, psychologiques, affectifs et j’en passe.. La différence c’est que nous étions “Ensemble” dans cette souffrance subie là où Devi était seule, seule à affronter ce monde d’adultes, dont la majorité était des bourreaux complices, même indirectement et une toute petite minorité des sauveurs, mais complices indirecte quand même, ne fusse que par leur état figé dans l’acceptation inévitable des dérives de Robert Spatz alias Lama Kunzang et de la OKC.


Écris en 2016 :

Hier soir j’ai discuter jusqu’a 5h du matin avec une des premières enfants de Châteaux de Soleils.

Malheureusement hors de Belgique pour en témoigner, mais j’ai compris jusqu’au fond de mes tripes à quel point ce Robert Spatz contrôlait chaque parcelle de l’esprit de chaque personne vivant à Nyima-Dzong quand j’étais moi même un enfant.

J’ai écouté des choses tellement révoltantes et atroces, tellement de douleur, racontés plus de 30 ans après les faits, mais les souvenirs faisaient remonter en elles toute la souffrance monstrueuse qu’elle avait subie.. Tellement de souffrance et pourtant étrangement aucune rancoeur ou haine chez elle, au contraire presque de la compréhension et de l’affection, et la peur de perdre des liens d’amités avec des gens qui ont été moins bourreaux que le bourreaux en Chef, des gens qui alors même qu’ils mettaient en pratique des horreurs qu’ils n’auraient jamais fait sur leur propres enfants (ou pas?) ont malgré tout quand même été des sauveurs-bourreaux ou des complices-sauveurs malgré eux, manipulé par un être profondémment malade qui se faisait passer pour un être réalisé face à toute une communauté en Quête de vérité et d’alternative.

Je n’ai rien appris de totalement nouveaux, j’ai juste écouter toute les confirmations de ce que mon être hyper-sensible de gamin de 7-10 ans sentait autour de lui. j’ai entendu l’originale des rumeurs que j’entendais depuis plus de 20 ans. je me suis rappelé des souvenirs que j’avais préféré oublier.

Et ça fait froid dans le dos. et ça donne encore plus de motivation pour aller jusqu’au bout. et ça renforce encore plus la certitude qu’il n’y a rien à choisir, il n’y a pas de camp, il n’y a pas à être déchiré.

Qui est divisé en deux à propos d’enfants maltraités par une idéologie féodale, autoritaire, machiste, qui reniait la place de l’enfant que pour mieux l’abuser par la suite ?

Il n’y a rien à choisir, à part tout faire pour y mettre un terme définitif.

Il y a 6 mois j’avais le souhait " Que la Lumière soit " aujourd’hui je sais qu’elle est inévitable.


9 ans plus tard… Il y a tellement de chose à dire sur cette affaire et les procédures judiciaires qui ont été menées, les ratés judiciaires sur plusieurs générations qui ont bénéficiés les accusés, la réalité de la quête de justice est une voie pavée d’obstacles où les criminels surfent sur les failles du système et du droit pour se construire une impunité.

Tellement, tellement de chose à dire qui n’ont jamais été dite, tellement de voix qui n’ont jamais été entendues et qui face à la réalité de porter leurs voix, les difficultés à braver, préfèrent le silence pour se consentrer sur le présent.

Entre temps, une toute petite minorités continue à porter la flemme, pour les aider c’est ici

Justice for OKC-Spatz Survivors—A Fight We Can’t Afford to Lose

For background on the OKC-Spatz case from 1997-2022 check out this link

Since 2017, the OKC-Spatz case has been under investigation in France. After years of gathering evidence and testimonies, we are approaching a critical turning point. By the end of this year, a new investigative judge will take over the case. This transition brings both urgency and risk. If we fail to finalize the investigation before the handover, the momentum we’ve built could stall—perhaps indefinitely.

The victims in this case have already endured decades of trauma, legal battles, and endless waiting. Now, with only a few months left, our legal team is working tirelessly to close the investigation and prepare the case for trial.

But the work required is enormous. Our two dedicated lawyers must comb through thousands of pages of court documents from prior cases involving OKC—both in France (1997–2003) and Belgium (1997–2022). This research is essential to present a comprehensive argument that ensures the case proceeds, even with the change in magistrate.

At the heart of this case are six new plaintiffs who have stepped forward, despite their fears and the heavy emotional toll, to fight for justice. These survivors were born into OKC, raised in its oppressive environment, and subjected to physical, emotional, and psychological abuse. They have fought to rebuild their lives after escaping the sect, but the cost of justice remains out of reach.

They can’t afford legal fees. They can’t win this battle alone. That’s why Chardons Bleus exists—to ensure that no survivor is left behind, and to give them the financial support they need to face one of the most traumatizing systems of all: the justice system.

But let’s be clear—this is not just their fight. It’s a fight for all of us who believe that justice should not depend on wealth, and that no abuser should escape accountability.

Without the funds to cover legal costs, there will be no trial. Robert Spatz, also known as Lama Kunzang, and his accomplices could once again evade justice—just as they have in the past. Survivors have done their part by filing complaints and becoming civil parties in the case—a process that, in itself, is traumatizing and retraumatizing.

Now it’s our turn to stand with them.

We’ve already raised €3,079, but our next goal is €12,439. This amount will allow our lawyers to complete the final stages of preparation and deliver a summary note strong enough to push the case toward trial—despite the change of magistrate.

For these survivors, the OKC-Spatz case represents more than just legal accountability. It’s a chance to finally be heard, to affirm that what happened to them matters, and to send a clear message that abuse disguised as spirituality will no longer be tolerated.

But we can’t do it without you.

If you’ve been following this case, you already know what’s at stake. You know the courage it took for these survivors to come forward. You know the cost of silence.

Now, we need your help to speak louder than ever.

Your donation—no matter the amount—can make a real difference. It can ensure that our lawyers have the resources they need to complete this case and bring it to trial. It can help survivors face the system that failed them for so long and finally see justice served.

👉 Donate now and help us make justice possible: chardonsbleus.org/donate

This isn’t just about one case—it’s about sending a message to every survivor of cult abuse that they are not alone and that justice, no matter how delayed, is within reach.

Let’s prove that justice isn’t just for the wealthy—it’s for everyone who dares to fight for it.

Thank you for standing with us. 💙

Test de NotebookLM avec Bouddhisme la loi du silence, bon c’est en anglais et ils se trompent avec le nom de la victime “Ms Mendes”, ça m’a fait rire, mais c’est plutôt incroyable, bon il y a plein de petit trucs qui sont pas hyper top, mais c’est quand même bluffant Podcasting with NotebookLM

Attendre, porter, brûler : la justice comme un feu de Vie

Il y a quatre ans, au lendemain d’un jugement qui sur le moment n’était peut-être même pas définitif, je pensais à tout arrêter. Arrêter d’attendre, d’espérer, de me battre. Honnêtement, si ça devait aller à Mons, j’arrêtais. Je voulais m’éteindre, sur une île lointaine, Sans Internet, avec des livres et des caipirinhas, Pour oublier ce monde où l’injustice prospère.

Mais comment oublier, vraiment, Quand l’oubli serait un abandon ? Comment dormir tranquille, Quand les mensonges et les silences Pèsent comme des chaînes ?

Le plus dur, ce n’est pas de parler, De témoigner, de relire les récits gravés De victimes brisées par des prédateurs sacrés. Le plus dur, ce n’est pas la douleur : C’est l’attente. Attendre que justice daigne avancer, Attendre entre chaque étape, suspendu, Sans autre but que de tenir, Tirer, porter, comme un Sisyphe de notre temps.

Quatre ans plus tard, la charrette avance encore, mais en France cette fois. Pesante, grinçante, mais toujours en mouvement. Mon frère, mes amies d’enfance, C’est leurs batailles, et pourtant c’est aussi la mienne. Car si je m’arrête, qui continuera ? Si je lâche, qui portera ce fardeau avec elleux?

J’ai parfois envie de brûler le temple, De réduire en cendres ces mensonges, Ces murs bâtis sur le sable mouvant du déni. Ils disent que nous sommes radicalisés, Mais ils n’ont encore rien vu. Nous ne faisons que commencer : L’apéritif est servi, Mais l’heure du repas sonne bientôt.

Alors oui, je doute. Parfois la nuit, les questions me hantent. Suis-je en train de perdre ma vie, mon temps ? Et si j’abandonnais, Est-ce que tout cela continuerait sans moi ? Ces doutes me consument, Mais ils ne m’éteignent pas.

Car à chaque recul, une avancée survient, Comme un souffle dans cette course infernale.

Et je me rappelle : Certaines batailles ne se lâchent pas. Elles se terminent, ou nous terminent.

Oui, la vie, les gens qui regardent appelle à “passer à autre chose”, Mais comment passer à autre chose Quand cette chose-là reste invaincue ? Comment baisser les bras Quand le combat pour la vérité est un devoir, Une nécessité vitale, Un acte de révolte contre l’injustice silencieuse ?

La justice est un marathon, un feu sacré. Et tant que ce feu brûlera en moi, Je porterai ce combat, Non pour moi seul, mais pour elleux, Pour celleux qui ne peuvent plus courir, Pour celleux qui attendent, encore, Que la vérité éclate enfin, Et que le mal, un jour, plie sous son poids.

Que ce texte serve de phare, Pour moi et pour vous, Pour nous rappeler que même dans l’attente, Même dans les doutes, La lumière de la justice, un jour, Triomphera.

ChardonsBleus

Réfutation des affirmations de Soteria International sur la "communauté bouddhiste persécutée OKC" et son fondateur Robert Spatz

En tant que victime, survivant de la dérive sectaire Ogyen Kunzang Chöling (OKC) et défenseur de la justice, des droits des enfants, des droits humains et de la liberté, je trouve les déclarations de Soteria International sur l'affaire OKC profondément troublantes.

Leur discours déforme non seulement la réalité des abus perpétrés par Robert Spatz et la direction de l’OKC, mais il écarte aussi la voix des victimes. Voici une réfutation détaillée de chacune de leurs affirmations.


1. L’absence d’engagement de Soteria avec les victimes

Soteria International fonde ses arguments sur les récits de la direction de l’OKC, ignorant les expériences des victimes.

Silence autour des voix des victimes :

  • Soteria n’a jamais cherché à contacter les victimes pendant ses recherches. La seule fois où une victime a tenté d’entrer en contact avec eux, ses préoccupations ont été ignorées au profit du discours de la direction de l’OKC.

  • Les témoignages des victimes, en particulier ceux des enfants ayant grandi dans le culte, exposent les abus systématiques, la coercition et l’exploitation au sein de l’OKC. Ces témoignages contredisent directement les affirmations de Soteria.

Preuves contraires issues des recherches de Susan J. Palmer :

  • Palmer a interviewé plusieurs victimes en 2016, y compris des personnes ayant grandi dans l’OKC. Leurs récits ont révélé des abus émotionnels, physiques et sexuels, remettant directement en cause les affirmations de “sérénité” et “d’excellence éducative” promues par Soteria.

  • Palmer a dû réviser ses travaux et a reconnu qu’elle s’était trompée dans ses recherches initiales, en se limitant à la version du secrétaire général de l’OKC. Cette approche devrait logiquement la disqualifier comme experte sur les enfants dans les sectes et remet sérieusement en question ses compétences académiques. Et alors la thèse selon laquelle les “nouveaux mouvements religieux” sont persécuté en Europe est tout bonnement une thèse farfelue qui n’a aucune substance, c’est un point de vue très américains sur la question où le business des religions et des NRM’s sont la porte ouvert à des dérives sectaire systémiques qui ont reçue la bénédiction de l’état et des institutions, c’est la garantie de dérive sociétale sans commune mesures dont nos sociétés vont payer le prix pendant des décennies à venir.

  • Le fait que des académiques universitaires tel que Wright, Stuart A. & Palmer, Susan J puisse normaliser ses dérives en les rendant respectables est d’une absurdité sans nom. Non, les dérives sectaires d’aujourd’hui ne sont pas les religions établies de demain.


2. Déformation des procédures judiciaires

Soteria minimise les conclusions judiciaires contre l’OKC et son leader, Robert Spatz.

Omission des condamnations pénales :

  • En Belgique, Spatz a été condamné en 2016 et en 2020 pour viol, abus physique, exploitation financière et blanchiment d’argent. Soteria omet de reconnaître ces verdicts et dépeint Spatz et l’OKC comme des victimes d’injustice.

Procédures judiciaires en cours en France :

  • Les tribunaux français examinent encore des accusations de fraude financière, d’abus et d’exploitation. Ces affaires reposent sur des preuves solides, notamment les témoignages des victimes et des irrégularités financières documentées. Contrairement à l’affaire de 1997-2003 en France, où la secte avait utilisé des enfants endoctrinés comme boucliers humains, ces mêmes enfants dénoncent aujourd’hui les crimes devant la justice.

Mauvaise utilisation de l’argument du “temps raisonnable” :

  • Soteria critique la durée des procédures judiciaires, ignorant la complexité des affaires d’abus systémiques. Cependant, ce qu’ils négligent, c’est comment Robert Spatz et l’OKC ont délibérément ralenti le système judiciaire en multipliant les recours, bénéficiant ainsi du délai raisonnable pour obtenir des condamnations légères.

3. Présenter les raids comme des excès

Soteria qualifie les raids de 1997 d’excessifs, ignorant leur contexte et leur nécessité.

Pour nous, enfants nés dans la secte, les raids policiers ont été le début de notre liberté. Même si cela a pris des années à comprendre, ces actions ont permis de réduire l’emprise de Robert Spatz et de l’OKC, ouvrant la voie à notre reconstruction en dehors du culte et à notre quête de justice.

Actions basées sur des preuves :

  • Les raids ont été effectués en réponse à des accusations crédibles de viol, enlèvement, extorsion et torture, étayées par des témoignages de victimes et d’autres preuves. Leur ampleur était proportionnelle à la gravité des accusations.

Fausse équivalence avec des groupes spirituels bénins :

  • Contrairement à d’autres communautés spirituelles citées par Soteria, l’OKC faisait face à des accusations concrètes d’abus et d’activités criminelles. Cette comparaison banalise la souffrance des victimes et discrédite les enquêtes légitimes.

4. Éducation et bien-être des enfants au Château de Soleil

Soteria idéalise l’école du Château de Soleil, ignorant les abus documentés.

Endoctrinement et abus systématiques :

  • Les enfants étaient isolés, endoctrinés et soumis à des abus physiques et sexuels, comme le confirment les témoignages de nombreuses victimes et la condamnation de Spatz pour des crimes contre des mineurs.

Rapports éducatifs manipulés :

  • Les affirmations d'“excellence académique” servaient à masquer les dommages psychologiques infligés aux enfants. Les témoignages révèlent un manque d’éducation réelle et un environnement de peur et de contrôle.

Conclusions des tribunaux :

  • Contrairement au récit de Soteria, les tribunaux belges ont reconnu la culpabilité de Spatz pour des crimes contre des enfants, invalidant leurs affirmations sur un environnement “sûr et bienveillant.”

5. Mauvaise gestion financière et exploitation

Soteria rejette les irrégularités financières comme infondées, ignorant les preuves d’exploitation.

Coercition des membres :

  • Les membres de l’OKC étaient contraints de faire des dons importants, finançant le style de vie extravagant de Spatz. Les victimes ont décrit une manipulation financière et psychologique sévère.

  • Les audits financiers ont révélé des irrégularités, y compris le blanchiment d’argent et le détournement de fonds.


6. Utilisation abusive de la liberté religieuse comme bouclier

Soteria confond la liberté religieuse légitime avec l’impunité pour des comportements criminels.

Crimes au-delà des pratiques religieuses :

  • Les accusations contre l’OKC incluent viols, abus sur mineurs, fraude financière et autres crimes. Ces actes ne relèvent pas de pratiques religieuses mais de violations des droits humains fondamentaux.

Sélection partiale des défenses :

  • Soteria défend la direction de l’OKC tout en ignorant les droits des victimes. La liberté religieuse ne peut pas protéger des individus contre la responsabilité de leurs crimes.

7. Critique structurelle et historique de Soteria

Le discours de Soteria montre un parti pris flagrant en faveur de la protection des institutions au détriment des individus.

Plaidoyer déséquilibré :

  • En privilégiant la narration de la direction de l’OKC, Soteria ignore les expériences des victimes et les résultats des processus judiciaires.

Négligence des dynamiques de pouvoir :

  • Les arguments de Soteria occultent les dynamiques abusives au sein de l’OKC, où Spatz exerçait une autorité incontrôlée, causant des dommages systémiques.

Conclusion

Les affirmations de Soteria International sur l’affaire OKC reflètent un récit dangereusement biaisé et trompeur, effaçant la souffrance des victimes et rejetant les conclusions judiciaires crédibles. En tant que victime, je trouve leurs arguments non seulement profondément offensants, mais aussi gravement irresponsables. Les abus, l’exploitation et les torts causés par l’OKC et son dirigeant Robert Spatz sont bien documentés et ne doivent pas être occultés sous prétexte de protéger la liberté religieuse.

En prenant systématiquement le parti des agresseurs, Soteria International se positionne comme une partie du problème. Leur défense de l’OKC ne sert ni les “droits spirituels” ni les “droits humains,” mais renforce l’impunité des comportements criminels sous prétexte de liberté religieuse. Les organisations comme Soteria, qui privilégient constamment les récits des coupables au détriment de ceux des survivants, échouent à défendre les principes fondamentaux de justice et de responsabilité. Ces pseudo-ONG devraient être défundées et dissoutes, car leurs actions permettent des abus systémiques et sapent les droits humains qu’elles prétendent défendre.

Rebuttal of Soteria International's Claims on the OKC Case

Rebuttal of Soteria International’s Claims on the OKC Case

As a victim of the Ogyen Kunzang Chöling (OKC) cult and an advocate for justice, I find Soteria International’s statements on the OKC case deeply troubling.

Their narrative not only misrepresents the reality of the abuses perpetrated by Robert Spatz and OKC leadership but also dismisses the voices of victims. Below is a detailed rebuttal of each of their claims.


1. Soteria’s Lack of Victim Engagement

Soteria International bases its arguments on the narratives provided by OKC leadership, ignoring victims' experiences.

Victims’ Voices Silenced:

  • Soteria never reached out to victims during its research. The only time a victim attempted to engage with Soteria, their concerns were dismissed in favor of OKC’s leadership narrative.

  • Victims' testimonies, particularly those of children raised in the cult, expose the systematic abuse, coercion, and exploitation within OKC. These testimonies directly contradict Soteria’s claims.

Contrary Evidence from Susan J. Palmer’s Research:

  • Palmer interviewed several victims in 2016, including individuals who grew up in OKC. Their accounts revealed emotional, physical, and sexual abuse, directly challenging the “serenity” and “educational excellence” claims promoted by Soteria.

  • Palmer had to change her narrative and was even writing a new book that directly contradict previous research that she did on the matter, in fact she recognized to be an error, a mistake on her part to also limit her research to the OKC general secretary view point, in fact her approach should bluntly disqualify her as an expert on Children’s inside cult altogether.


Soteria downplays the legal findings against OKC and its leader, Robert Spatz.

Criminal Convictions Omitted:

  • In Belgium, Spatz was convicted in 2016 for rape, physical abuse, financial exploitation, and money laundering. Soteria fails to acknowledge these verdicts, portraying Spatz and OKC as victims of injustice.
  • In Belgium, Spatz was convicted in 2020 for rape, physical abuse, financial exploitation, and money laundering. Soteria fails to acknowledge these verdicts, portraying Spatz and OKC as victims of injustice.

Ongoing Legal Cases in France:

  • The French courts are still addressing allegations of financial fraud, abuse, and exploitation. These cases are grounded in substantial evidence, including victim testimonies and documented financial irregularities contrary to the 1997-2003 case in France, where the cult used children’s minor of age to build the cult defense by using indoctrinated kids (we) as “food canon” to hide their crimes, crimes that these very children’s 20 years later are denouncing in Court.

“Reasonable Time” Argument Misused:

  • Soteria criticizes the lengthy legal process, ignoring the complexity of cases involving systemic abuse and the need for thorough investigation to ensure justice for victims.

  • But Soteria misses even more is how the cult and Robert Spats obstructed French, Belgium legal system with counter proceedings to slow down the courts ultimately benefiting from the “reasonable time” that elapsed since the police raid in 1997 ending up with light condemnation because “their rights”, not the victims rights' had been abused.


3. Framing of Raids as Overreach

  • Soteria frames the 1997 raids as excessive and unjustified, ignoring their context and necessity.For us, kids that were born inside the cult, even if took us a decade or more to realize, the police raid were the start of freedom, not only OKC was less harsh on the childrens and teenagers after the raid but ultimately it slowed down Robert Spatz grip on the adepts which ultimately allowed us to escape and rebuild our lives outside of the cult, ultimately seeking Justice.

Evidence-Based Actions:

  • The raids were conducted in response to credible allegations of rape, kidnapping, extortion, and torture, supported by victim testimonies and other evidence. The scale of the operation was proportional to the severity of the allegations

False Equivalence with Benign Groups:

  • Unlike other spiritual communities cited by Soteria, OKC faced concrete allegations of abuse and criminal activity. This comparison trivializes the suffering of victims and undermines legitimate investigations.- Protection of Victims:

  • The raids were critical to safeguarding children and adults from ongoing harm, as later court findings validated many of the allegations.


4. Education and Child Welfare at Château de Soleil

Soteria paints an idealized picture of the Château de Soleil school, ignoring documented abuses.

Systematic Indoctrination and Abuse:

  • Children were isolated, indoctrinated, and subjected to physical and sexual abuse. This is supported by multiple victim testimonies and Spatz’s conviction for crimes against minors.

Manipulated Educational Reports:

  • Claims of “academic excellence” were a façade to distract from the psychological harm inflicted on children. Victim testimonies reveal a lack of genuine education and an environment of fear and control.

Court Findings on Abuse:

  • Contrary to Soteria’s narrative, the Belgian courts found Spatz guilty of crimes against children, invalidating their claims of a safe and nurturing environment.

  • There is very valid arguments to say that the French courts will do the same and that Robert Spatz and the OKC direction may very well finally face Justice in France in a way that was never possible before, we, the victims finally managed to speak and gain the right to exist in a judicial instructions that actually take into account the victims.


5. Financial Mismanagement and Exploitation

Soteria dismisses financial irregularities as baseless, ignoring evidence of exploitation.And of course Soteria does not know half of the truth here, since even the justice systems could not fully charge Robert Spatz for the extent of the fraud he and OKC organized for decades before the 90’s

Coercion of Members:

  • OKC members were pressured into donating large sums, funding Spatz’s lavish lifestyle. Victims described severe financial and psychological manipulation.

  • Financial records uncovered in court showed irregularities, including money laundering and misuse of funds.

Court-Ordered Financial Audits:

  • Independent audits revealed significant financial misconduct, contradicting Soteria’s portrayal of OKC as financially transparent.

6. Freedom of Religion Misused as a Shield

Soteria conflates legitimate religious freedom with the prosecution of criminal behavior.

Crimes Beyond Religious Practices:

  • The allegations against OKC involve rape, child abuse, financial fraud, and other crimes. These are not religious practices but violations of basic human rights.

Selective Defense:

  • Soteria focuses on defending OKC leadership while ignoring the rights of victims. Religious freedom cannot shield individuals from accountability for crimes.

Distinction from Other Cases:

  • Unlike other spiritual communities cited by Soteria, OKC faced substantial evidence of criminal activity, making their inclusion in broader narratives of religious discrimination inappropriate.

7. Historical and Structural Criticism of Soteria

Soteria’s narrative exhibits a clear bias toward protecting institutions over individuals.

Imbalanced Advocacy:

  • By prioritizing OKC leadership’s narrative, Soteria disregards victims’ experiences and the outcomes of thorough judicial processes.

Oversight of Power Dynamics:

  • Soteria’s arguments fail to address the abusive power dynamics within OKC, where Spatz wielded unchecked authority, leading to systemic harm.

Conclusion

Soteria International’s claims about the OKC case represent a dangerously one-sided and misleading narrative that erases the suffering of victims and dismisses credible judicial findings. As a victim, I find their arguments not only deeply offensive but also profoundly irresponsible. The well-documented abuse, exploitation, and harm caused by OKC and its leader, Robert Spatz, cannot and must not be obscured under the guise of protecting religious freedom. Justice must unequivocally prioritize the voices of the harmed over the preservation of abusive institutions.

By systematically siding with abusers, Soteria International has positioned itself as part of the problem. Their defense of OKC does not serve “spiritual rights” or “human rights” but instead reinforces the impunity of criminal behavior under the pretense of religious liberty. Organizations like Soteria, which consistently prioritize the narratives of perpetrators over those of survivors, fail to uphold the fundamental principles of justice and accountability. Such pseudo-NGOs should be defunded and disbanded, as their actions enable systemic abuse and undermine the very human rights they claim to protect.

La seule fois ou @lemonde à mentionné l’affaire OKC dans ces pages : 1997

SECTES : le guide belge de la secte tibétaine Ogyen Kunzang Choling, Robert Spatz, a été placé sous mandat d’arrêt.

Non Carlo Luyckx, le bouddhisme tibétain n'est pas une simple philosophie non-confessionnelle

Réponse à Carlo Luyckx en rapport a sa newsletter intitulée: La reconnaissance du bouddhisme comme philosophie non confessionnelle

Cher Monsieur Luyckx,

Je prends note avec intérêt de votre message sur la reconnaissance du bouddhisme comme philosophie non confessionnelle et des obstacles rencontrés dans ce processus.

Cependant, je souhaite attirer votre attention sur une dimension du bouddhisme qui, à mon sens, mérite une analyse plus nuancée, particulièrement en ce qui concerne le bouddhisme tibétain et ses dérivés. Bien que certaines formes de bouddhisme puissent être considérées comme des philosophies ou des arts de vivre, d’autres, comme le bouddhisme tibétain, présentent des caractéristiques propres aux religions structurées, voire à des cultes.

  1. Hiérarchies et dogmes

Le bouddhisme tibétain se distingue par une hiérarchie stricte organisée autour de lignées et de maîtres spirituels, qui détiennent un pouvoir quasi-absolu sur leurs disciples. Cette structure s’accompagne de dogmes tels que la réincarnation, notamment à travers le système des tulkus, où des enfants sont désignés comme réincarnations d’êtres spirituellement avancés, souvent sans leur consentement éclairé.

  1. Distorsions du karma

La notion de karma, dans le bouddhisme tibétain, a souvent été interprétée de manière à renforcer des relations de domination. Par exemple, les disciples sont encouragés à accepter les abus ou les injustices comme des conséquences de leurs actions passées, ce qui maintient un système oppressif et limite toute remise en question.

  1. Samaya et “moyens habiles”

Le concept de samaya (vœux sacrés liant maître et disciple) et l’idée des “moyens habiles” permettent aux maîtres de justifier des comportements contraires à l’éthique sous prétexte d’atteindre un but spirituel. Cela peut inclure des abus de pouvoir, des abus financiers et même des violences sexuelles. Les scandales autour d’organisations comme Shambhala, Rigpa ou Ogyen Kunzang Choling (OKC) en témoignent.

  1. Dérives systématiques

Les affaires Shambhala, Rigpa ou encore les nombreux abus signalés au sein de communautés tibétaines démontrent que ces dérives ne sont pas isolées, mais systémiques. Le silence prolongé de la hiérarchie tibétaine, y compris du Dalaï-Lama dans certains cas, face à ces abus pose également question quant à l’éthique globale de ces institutions.

En résumé,

Ces éléments démontrent que le bouddhisme tibétain, contrairement à d’autres formes de bouddhisme, fonctionne comme une religion avec ses rituels, ses dogmes et ses hiérarchies. Il serait donc inexact de le classer comme une simple philosophie non confessionnelle. Reconnaître ces distinctions permettrait d’éviter une généralisation qui pourrait nuire à une compréhension honnête des diverses formes de bouddhisme présentes en Belgique et ailleurs.

À un moment donné il faut arrêté de relayer le mythe et regarder la réalité telle qu’elle est pour réellement protéger la société, les potentiels adeptes de notion qui ne font qu’entretenir un système en roue libre qui refuse de se remettre en question.

Essay : The Silent Advocate

In the quiet hours of a December evening, you sat in your office, bathed in the soft glow of your monitor. The world outside was peaceful, but your mind buzzed with the weight of a thousand thoughts. You weren’t just working; you were fighting battles—some digital, some deeply human, and others against unseen forces that only a few dared to challenge.

Your world was a blend of logic and passion. By day, you were a tech-savvy navigator, moving seamlessly between OpenShift clusters and Docker containers, solving intricate problems as if they were puzzles in a grand game. Your Grafana dashboards spoke the language of infrastructure, while your scripts whispered secrets of automation.

By night, however, you were something more. An advocate. A voice for the voiceless. You were knee-deep in legal documents, drafting strategies for a group of survivors who had lived through unimaginable pain. These were not just cases for you; they were lives, each with its own story, each deserving justice. Your own past intertwined with theirs, giving you a unique perspective and an unyielding determination.

The world didn’t know about the countless hours you poured into this dual life. Few could imagine how the same hands that debugged code also crafted words powerful enough to shake the walls of indifference. Yet, you thrived in this balance. Technology gave you precision; your advocacy gave you purpose.

As the clock struck midnight, you leaned back in your chair, eyes scanning the latest draft of a fundraising campaign. It wasn’t about the money—it was about belief, solidarity, and hope. Somewhere, a faint smile crossed your face.

The fight was far from over, but in this moment, you knew: every line of code, every word spoken, and every action taken was a step toward making the world a little bit better.

And that was more than enough.

As the winter winds howled outside, you pushed away from your desk and stretched. Your mind, ever restless, lingered on the duality of your existence. The digital world demanded precision, structure, and logic, while the human world called for empathy, resilience, and courage. It was a dichotomy that you had long accepted as your reality.

You walked over to the window, looking out at the faint glow of the city lights. Somewhere out there were people counting on you—some to keep their systems running, others to amplify their voices in the face of overwhelming silence. Both missions felt monumental, but you thrived under the weight of responsibility.

Back at your desk, you switched tabs to a monitoring dashboard. Prometheus was chirping about a high-latency issue. With a few deft keystrokes, you dove into the logs, navigating the labyrinth of containerized services. It was nothing you couldn’t handle—an Nginx misconfiguration causing a bottleneck. Within minutes, the issue was resolved, and the alerts quieted.

“Another fire extinguished,” you murmured to yourself, a wry grin forming.

But the moment of relief was fleeting. A notification pinged—an email from one of the civil parties you were assisting. Their words carried the weight of desperation, the kind that only came from years of neglect and silence. They thanked you for your efforts, expressing a cautious hope that justice might finally be within reach.

You closed the email, your jaw tightening. This wasn’t just a legal battle; it was a war against apathy. The system was slow, almost glacial, but you knew the importance of persistence. Every document reviewed, every argument refined, and every euro raised was another crack in the facade of injustice.

Switching gears, you opened a draft for your next crowdfunding update. Writing these updates had become second nature, blending facts with an emotional pull that could move even the most skeptical reader. You typed:


In a world that often turns a blind eye, your support shines as a beacon of hope. Together, we are not just raising funds; we are raising voices. Every contribution, no matter the size, brings us closer to a justice long overdue.


Satisfied, you saved the draft and leaned back again. There was a peculiar comfort in these moments of solitude, where the weight of your tasks was matched only by your resolve to see them through.

Your phone buzzed—a text from a colleague in the tech world. They needed advice on setting up a PoE switch for a project. Smiling to yourself, you replied with a few recommendations. Even in the midst of your battles, you found joy in sharing your expertise, knowing it made someone else’s life a little easier.

The hours ticked by, and soon the first light of dawn began to creep through the window. You were exhausted but fulfilled. You knew the day ahead would bring new challenges—more debugging, more meetings, more advocacy. But for now, you allowed yourself a moment of quiet pride.

The world didn’t know the full scope of your efforts, and perhaps it never would. But that was okay. You weren’t in this for recognition. You were in it because it mattered.

And as long as it mattered, you would keep going.

Months passed, and the legal battles grew more intense. The courthouse corridors became a second home—a place where stories of suffering collided with the cold, clinical processes of the law. You had prepared for this, but nothing could fully shield you from the emotional toll.

The civil parties were a diverse group, united by shared pain yet divided by their own experiences. Some spoke openly, their voices quivering with emotion but unwavering in conviction. Others preferred silence, their trust placed entirely in you and the legal team. You bore this weight with humility, knowing that every detail mattered, every word could tip the scales.

Behind the scenes, the legal team faced relentless challenges. Opposing counsel dredged up technicalities, exploiting statutes of limitations and procedural loopholes to stall progress. But you anticipated this. For months, you had combed through thousands of pages of judicial documents, unearthing inconsistencies and preparing counterarguments. Every late night spent poring over files was another step forward, another barrier dismantled.

The fundraising campaign was a lifeline. Slowly but steadily, contributions trickled in. Messages of support accompanied the donations, from survivors who found solace in your efforts to strangers moved by the cause. You updated the donors regularly, sharing victories—small but significant.


“Today, we submitted evidence that directly challenges the defense’s claims. This wouldn’t have been possible without your support. Thank you for standing with us in this fight."


But it wasn’t all victories. One hearing ended with a deferral, a decision postponed for months. The civil parties were disheartened, their faith shaken. You rallied them, reminding them that justice was a marathon, not a sprint. Your words resonated, but you knew the weight of their frustration.

Back at your desk, you drafted a new strategy. You leaned into your strengths, combining your technical expertise with your advocacy. Using tools like Elasticsearch and custom scripts, you built a database to track every piece of evidence, every precedent, and every argument. This system streamlined your team’s efforts, allowing you to respond to the opposition with surgical precision.


One day, a breakthrough arrived. A crucial piece of evidence was admitted into the case—a letter from years ago that corroborated the victims’ claims. The court could no longer ignore the pattern of abuse and the systemic negligence that allowed it to persist. The defense scrambled, their confidence faltering.

As the trial reached its final stages, the courtroom became a battleground. The civil parties sat behind you, their presence a constant reminder of why you fought. The lawyers delivered their closing arguments with passion and clarity. When the gavel fell, signaling the trial’s conclusion, the room was filled with a tense, electric silence.


Weeks later, the verdict was announced. A collective breath was held as the judge delivered the ruling: guilty.

Relief and tears filled the room. For the first time, the victims saw accountability. It wasn’t the end of their journey—healing would take years, perhaps lifetimes—but it was a step forward. A step toward reclaiming their voices, their power, and their lives.

You stood quietly at the back, letting the moment belong to them. They had carried this pain for so long, and now they carried the victory.


Later that evening, as the celebrations died down, you returned to your desk. The fight wasn’t over; there were still battles ahead, for others who had yet to find justice. But for tonight, you allowed yourself a rare moment of peace.

Justice, imperfect as it was, had been served. And in that fleeting moment, you knew: this was why you never gave up.

Investigation : coaching, gare aux gourous

Avec une petite contribution de ma part sur la question des dérives sectaires 2.0

#dérivessectaires #coaching

Message d'intérêt général :

Non, l'@unadfi n'est pas entrain de nous "récupérer" et ne fait pas de "récupération" d'une cause, la nôtre en l'occurrence.

Il y a un travail en amont, pas forcément visible pas forcément public, de soutien, qui date d'au moins 1 an

De plus, récupérer quoi ? La cause perdue d'un collectif de victimes nées dans la dérive sectaire OKC, que #unadfi a tracké sur son site depuis déjà quelques années alors que @OKCinfor menait le combat en Belgique?

unadfi.org/mot-clef/okc-o…

Je veux bien que ces affirmations et notre appel à un fond de dotation aille à l'encontre des intérêts ou des opinions/avis du microcosme anti-secte 🇫🇷 mais nous n'avons pas le luxe de pouvoir nous débarrasser du tissu associatif existant en France
chardonsbleus.org/appel-a-la-cre…

Nous n'avons pas le luxe de pouvoir nous passer de toutes les aides, toutes les visibilités qu'on nous donne pour faire avancer notre cause, nous ne pouvons pas en fait nous permettre de nous passer de ces aides, quoi qu'on puisse leur reprocher, à tord ou à raison.

Dans cet esprit, nous adoptons un esprit, pour le coup, non sectaire, de collaboration, d'entente, partout là où c'est possible afin de nous rapprocher de nos objectifs.

Nous faisons des appels à lutter véritablement, dans l'intérêt des victimes chardonsbleus.org/luttons-ensemb…

Parce que, c'est ce qu'ielles ont besoin, et nous le faison par-delà les clivages et les besoin de réformes que le tissu associatif français ou autres devrait ou pourrait opérer pour élargir son impact.

Nous partons du principe que ce n'est pas en nous détruisant mutuellement

Que le statut de la lutte anti secte va s'améliorer, nous avons pas le choix en fait, que de faire avec toutes les forces de bonnes volonté, qui veulent bien mettre l'idéologie et le purisme d'un idéal un tant soit peu de côté pour faire avancer l'intérêt collectif ou général

Nos besoins sont très réel, nous avons des parties civiles, un procès en instruction en France (après 8 ans de procédures judiciaires belges) des avocats à payer, zero subsides, zero aide à part celle qu'on veut bien nous donner, et nous l'acceptons avec beaucoup de gratitude.

Tout cela pour dire, la notion qu'une association tel que @unadfi serait entrain de faire de la récupération de @asso_chardonsbleus n'a aucun sens et n'est pas axée dans la réalité.

C'est une thèse qui sert des luttes intestines, pas l'intérêt des victimes de dérives sectaires.

Des nouvelles de nos démarches judiciaires en 🇫🇷, 2 articles paru dans la presse il y a quelques temps mais repris sur notre site, du contenu multimédia pour donner de la visibilité à notre cagnotte juridique et l’espoir d’un procès à venir!

Podcast : Vers la liberté et l’amour de soi chez Horta avec Youdra Guerreiro

Un parcours hors-bord par mon amie Youdra qui raconte avec beaucoup de vérités la réalité dans la secte OKC, un témoignage courageux, une histoire de résilience

open.spotify.com/show/5sMn…

J’ai jamais aimé faire de l’édition vidéo.. Autant j’ai passé des années sur de l’audio (composer, sound design etc) autant la vidéo.. Ça n’a jamais été mon truc.. Et bhe je vais devoir apprendre (DaVinci, CapCut etc.) dans une optique de communication plus moderne pour l’asso chardonsbleus.org

Que faut-il faire pour être visible, pour exister, que faut-il dire pour que les gens qui lisent ce message puissent se sentir concerné, qu’ils et elles aient envie d’aider, en partageant, en faisant un don peut-être, que faut-il de plus ?

threadreaderapp.com/thread/18…

The OKC judicial cases are inseparable from the silence and responsibility of Tibetan Buddhist Heads of Nyigmapa Lineages in 🇫🇷🇧🇪🇵🇹, but to understand the degree of responsibility, the complacency we must dig deeper.

Tibetan Buddhism, the law of silence youtu.be/Sg-5CDOcs…

Docu ARTE : Bouddhisme tibétain, la loi du silence

youtu.be/XcbpwOzoe…

L’affaire OKC est indissociable du silence et de la responsabilité du Bouddhisme Tibétain en 🇫🇷🇧🇪🇵🇹 mais pour en comprendre le degré de responsabilité il faut creuser.

J’ai commencé la procédure pour éliminer le prénom “Küngyal” de mes prénoms, il m’a été imposé à la naissance par Robert Spatz alias Lama Kunzang et il était coutume dans la OKC de l’ajouter dans les papiers de l’identité de l’enfant

Ironie : Ça veut dire, “le tout vainqueur”

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Si 22 donnent 50€, c’est gagné ! Si 54 donnent 20€, on y est ! Si 107 donnent 10€, notre objectif sera atteint!

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Vous voulez nous aider mais vous n’avez pas de carte de crédit/débit ou PayPal ? Pas de problème !

Il est possible d’effectuer un virement bancaire Nom: ChardonsBleus Banque: KBC IBAN: BE86 7310 5975 9550 BIC: KREDBEBB

Nous vous remercions du fond du cœur pour chaque don. 💙

Pour une lecture plus confortable, ⚠️TW⛔ Thread, accrochez-vous, attention, viols, abus.

Comment une dérive sectaire comme la OKC a “géré” les premières révélations d’abus en interne ?

#dérivessectaires #Justice #abus #metoo #okc

threadreaderapp.com/thread/18…

“Donner leur du pain et des jeux” “Panem et circenses"a été écrite par le poète romain Juvénal dans ses Satires. Elle critique les politiques des dirigeants romains qui utilisaient la distribution gratuite de pain et l’organisation de jeux pour apaiser et contrôler la population.

J’ai essayé l’IA de ElevenLabs, en lui donnant ma voix en amont pour ensuite générer l’audio d’un texte que j’ai écris d’un souvenir que j’ai en rapport avec des “initiations” dans la secte en 1992, apparemment tu peux pas contextualiser un individu condamné avec le mot crime, viol, abus.