Note à moi-même : La vérité des faits objectifs n’est jamais une diffamation.

Aussi dure, dérangeante, insupportable ou destructrice soit-elle, la vérité, dans l’affaire qui nous concerne, n’est rien d’autre que des faits ignorés — consciemment ou inconsciemment.

Une fois l’abcès crevé, commence alors un processus de recalibrage entre ce que l’on croit savoir et la réalité de celles et ceux qui l’ont vécu.

Il faut du temps pour que les réalités s’alignent — autant de temps, parfois, qu’il en a fallu pour creuser le fossé entre soi et les autres.

Dans ce procès, peindre le passé en rose ou en noir n’est pas le rôle de l’initiative #OKCinfo ou de l’association Chardons Bleus.

Leurs rôles est de révéler des faits restés bien trop longtemps enfermés dans le secret d’une prison aux murs invisibles.

Il vaut mieux regarder sa vie en face et assumer ses erreurs plutôt que fuir, que ce soit par le mensonge ou l’évitement. De toute façon, on finit toujours par être rattrapé, par la vie ou par la mort. Dans les deux cas, il faut assumer.

Personnellement, et au-delà de l’nstrumentalisation de la justice à l’œuvre dans ces procès, je continuerai jusqu’au bout.

Opinion publiée il y a plus de 9 ans alors au début des procédures judiciaires belges. okcinfo.chardonsbleus.org chardonsbleus.org