Le tabou des violences sexuelles et le déni de l'épidémie en cours
Peut-être qu’un jour, en parler à son entourage ne se limitera pas à un “cassage de l’ambiance” mais plutôt une réelle prise de conscience, en tant que société.
Et que c’est de nos filles, sœurs, mères qu’il s’agit et que tant que ces violences resteront un cassage d’ambiance, on aura pas la force en tant que société, de renverser la mécanique, de démanteler la prescription de ces crimes et de mettre l’intérêt des victimes et de la société par dessus la sacro-sainte “présomption d’innocence”.
Point de vue en référence à l’affaire OKC-Spatz Contexte
Les travailleuses du CPVS de Bruxelles ont des épaules en béton armé